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A R C H I V E S

6 octobre 2013 7 06 /10 /octobre /2013 17:52
Pamiers. Teychenné et Fauré : un tête à tête avec les militants

 

Publié le 05/10/2013 à 03:56, Mis à jour le 05/10/2013 à 08:07

 

Candidature PS aux municipales

 

Pamiers. Teychenné et Fauré : un tête à tête avec les militants

Pamiers. Teychenné et Fauré : un tête à tête avec les militants

 

Candidature à la tête de liste socialiste aux municipales à Pamiers : acte deux. Après l’annonce des candidatures voilà une huitaine de jours, Alain Fauré, député de l’Ariège, et Michel Teychenné, conseiller municipal de Pamiers, chef de file de l’opposition à André Trigano, ont participé jeudi soir à un débat avec les militants de la section appaméenne. Un exercice de style incontournable dans le cadre de la candidature à la candidature puisque ce sont les militants qui sont appelés à désigner celui qui prendra la tête de la liste.

 

Ce débat s’est déroulé à la salle Aglaë-Moyne, devant une cinquantaine de militants, soit plus de 90 % de l’effectif de la section, ce qui prouve l’attachement de ceux-ci à cet exercice. Ce n’était réellement pas un débat puisque les candidats, après avoir présenté leurs motivations et ce qu’ils entendaient faire pour Pamiers, ont en fait répondu aux questions de la salle.

 

Pas de confrontation directe donc, mais de toute manière cette soirée préélectorale s’est déroulée selon ce que l’on en sait dans un climat serein. Prochain round jeudi avec le vote des militants en soirée à la salle des Capelles.


La Dépêche du Midi

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3 octobre 2013 4 03 /10 /octobre /2013 09:15

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 18:46

Extrait de l'interview de Jacques Arthuys dans Ariege new's ce soir 

 

EELV est donc disposée à nouer des alliances locales?

«Oui, mais pas nécessairement. A Pamiers, par exemple, on a choisi de préparer une liste mais beaucoup de choses peuvent encore se passer. En fonction du résultat du vote de la section socialiste*, je conduirai une liste… ou non

 

Un peu de politique fiction: à Pamiers, auriez-vous une préférence sur le choix de la tête de liste socialiste, Alain Fauré ou Michel Teychenné?

«Vous comprendrez que je laisse aux militants concernés le soin de choisir. Je me positionnerai à l’issue de ce processus démocratique. Après, toutes les hypothèses sont possibles: soit nous faisons une liste qui se maintient au deuxième tour, soit cette liste fusionne à l’issue du premier tour, soit nous faisons liste commune dès le premier tour. Pour l’instant, tout est ouvert»

 

 

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Jacques Arthuis, porte-parole EELV: «notre discours commence à être audible en Ariège»


Porte-parole Europe Ecologie Les Verts (EELV) pour le département de l’Ariège, Jacques Arthuis fait figure de nouveau venu dans le paysage politique local. Il siège au conseil municipal de Pamiers depuis six mois, en remplacement d’une Françoise Matricon démissionnaire.

Le départ de la figure tutélaire de l’écologie ariégeoise place Jacques Arthuis en première ligne, quelques mois à peine avant les batailles électorales de 2014.

Le nouveau venu doit aujourd’hui porter une parole «verte» souvent confisquée par des combats locaux ou des polémiques médiatiques (réintroduction de l’ours, extension de la station de ski de Mijanès…). Et donc forcer sa nature.

Mesuré et prudent, le futur candidat EELV aux municipales appaméennes avance ses pions, ménageant ses adversaires, potentiels alliés au gré des circonstances.

Comment préparez-vous les élections municipales au sein d’Europe Ecologie Les Verts?

«Nous souhaitons clairement présenter le maximum de candidats. Mais ce n’est pas faire injure aux écologistes que de dire que l’on ne pourra pas en présenter partout.

Aujourd’hui, nous sommes une centaine de militants en Ariège, sachant qu’un militant n’est pas forcément prêt à se présenter devant les suffrages de ses concitoyens. L’organisation du parti laisse la liberté à chaque groupe dans chaque ville de choisir ce qui sera le mieux pour représenter l’écologie politiqu


EELV est donc disposée à nouer des alliances locales?


«Oui, mais pas nécessairement. A Pamiers, par exemple, on a choisi de préparer une liste mais beaucoup de choses peuvent encore se passer. En fonction du résultat du vote de la section socialiste*, je conduirai une liste… ou non.

A Foix, il y a actuellement des pourparlers avec les socialistes et le Front de gauche. A Lavelanet, il y avait des élus écologistes aux côtés de Marc Sanchez mais nous attendons que se règlent les affaires**.

Bref, notre objectif est d’être le plus présent possible pour porter le regard écologiste dans la conduite des affaires politiques
»

Concrètement, les Ecologistes sont quand même très souvent alliés aux socialistes?


«Si l’on veut rendre service à l’écologie politique, il lui faut prendre sa véritable place dans notre société. C’est être capable de regarder la réalité de la situation.

Il y a des situations où nous sommes en capacité de diriger des mairies; en Ariège, sauf concours de circonstances, je ne vois pas comment nous pourrions ambitionner de diriger une municipalité, exception faite peut-être de petites communes. Le premier service à rendre à l’écologie politique et aux citoyens c’est de faire preuve de réalisme
»
Non, les écologistes ne sont pas des écervelés ! 


En Ariège, le PS est souvent en désaccord avec les thèses écologistes. Comment vous situez-vous par rapport à cet état de fait?


«C’est une réalité. Mais nous n’oublions pas de dire que François Hollande a été élu à 51,5% et que les votes écologistes ont sans doute aidé. Si nous étions en accord avec tout, les socialistes seraient écologistes et les écologistes seraient socialistes.

Mais, même s’il y a de véritables désaccords, nous constatons des évolutions de la part du PS sur les positions écologistes et donc que, bon an mal an, les gens se disent que les écologistes émettent des propositions qui tiennent la route. Ils se rendent compte que les écologistes ne sont pas des écervelés comme certains le pensaient il y a encore quelques années !
»

Vous pensez donc être audible en Ariège?

«Le discours commence à l’être. Nous devons tous travailler aux moyens de sortir l’Ariège de ses difficultés.

Dans le secteur de Lavelanet par exemple, où il y a des moyens de relancer une économie industrielle et nous devons y réfléchir d’une manière responsable, ou ce n’est pas possible et il faut raisonner différemment pour préparer un développement basé notamment sur l’installation de jeunes exploitants agricoles.

Le principe est que ce sont les populations installées dans une activité qui créent le développement économique
»

Le Comité écologique ariégeois et d’autres associations locales se heurtent souvent aux projets portés par des collectivités locales. Quel regard portez-vous sur ces groupes très actifs?


«Ces associations sont sur des combats très précis. Moi, je suis porte-parole d’un parti politique, un parti qui travaille sur tous les dossiers de la vie de la société.

Je ne peux donc me situer sur des niches de combats, mais je porte un regard très attentif sur ces débats. Je crois qu’ils sont utiles, même celui d’un coléoptère contre une 2x2 voies. C’est important de porter à la connaissance des décideurs politiques les réalités naturelles, sociétales car les politiques ne sont pas omniscients
»

Seraient-ils en mesure d’emporter des mairies et de porter un projet municipal?

«Je crois que ces associations ne sont pas capables de porter une politique globale comme nous le pouvons nous. Elles sont davantage des lanceurs d’alerte dont nous avons besoin. Il faut que les politiques soient capables de les entendre.

Pour reprendre l’image de la 2x2 voies, si nous tenons compte de l’ensemble des problématiques, que nous en discutons sérieusement et que nous prenions la décision la plus conforme aux besoins de nos populations, alors nous pouvons faire une 2x2 voies
»
Je combattrai le FN démocratiquement
Elu maire de Pamiers en mars 2014, instaurerez-vous de nouvelles taxes?


«La question ne se pose pas en ces termes. N’oublions pas que la France compte des milliers de communes endettées, aux charges fiscales lourdes, sans que les écologistes soient aux commandes.

La première chose à faire sera donc d’étudier l’état financier de la ville pour voir ce que nous pourrons réaliser ensuite concrètement. L’argent public n’est pas illimité et il doit être géré en bon père de famille.

Dans un ménage, le principe est simple: en cas de déficit, on réduit les dépenses et on augmente les recettes
»

Et votre projet pour la ville?

«Mon projet est de me concentrer sur le centre-ville qui est en train de péricliter. Ce n’est pas un scoop, le maire de Pamiers lui-même l’a reconnu en conseil municipal.

Notre approche est qu’une ville doit fonctionner sur les économies: économies d’espace, d’énergie... La ville n’est pas simplement un lieu où les gens dorment et partent pour travailler mais bien un lieu de vie, un lieu où il fait bon vivre, pas avec des conditions de logements vétustes, mal isolés qui coûtent une fortune aux ménages. C’est d’ailleurs tout le sens du travail engagé part Cécile Duflot au Gouvernement
»

Un peu de politique fiction: à Pamiers, auriez-vous une préférence sur le choix de la tête de liste socialiste, Alain Fauré ou Michel Teychenné?

«Vous comprendrez que je laisse aux militants concernés le soin de choisir. Je me positionnerai à l’issue de ce processus démocratique. Après, toutes les hypothèses sont possibles: soit nous faisons une liste qui se maintient au deuxième tour, soit cette liste fusionne à l’issue du premier tour, soit nous faisons liste commune dès le premier tour. Pour l’instant, tout est ouvert»

Thérèse Aliot, secrétaire départementale du Front National, a annoncé dans nos colonnes la probabilité d’une liste FN à Pamiers. Qu’en pensez-vous?


«S’il y a une liste Front National, ce sera aux autres listes d’expliquer aux électeurs que les idées du FN ne tiennent pas la route, qu’elles sont nocives. C’est la démocratie.

Car comme a dit Voltaire: "Je ne suis pas d’accord avec vos idées mais je me battrai pour que vous puissiez les exprimer"; je crois en ce principe et combattrai donc le Front National démocratiquement
»

*Les militants socialistes des sections locales des villes de plus de 3000 habitants et des chefs-lieux de canton doivent désigner leur tête de liste à l’occasion de primaires: à Pamiers, deux candidats s’opposent, Michel Teychenné et Alain Fauré (lire notre article du 24/09/2013). Les militants se prononceront le 10 octobre.

**Marc Sanchez, maire de Lavelanet, est dans l’attente d’un jugement du Tribunal correctionnel de Foix (lire notre article du 10/09/2013).

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 09:07

Notre Dame du Camp : la majorité reconnait à contre coeur, qu'il manquait 300 000 euros dans le devis des travaux...

 

 

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Pamiers. Union sacrée autour de Notre-Dame du Camp

 

Publié le 02/10/2013 à 03:53

 

patrimoine

 

On évacue les bancs de l'église. C'est pour les transporter à la cathédrale./Photos DDM, LP.

On évacue les bancs de l'église. C'est pour les transporter à la cathédrale./Photos DDM, LP.  

 

Le cha ntier de Notre-Dame du Camp est désormais inscrit dans le budget. Les élus ont voté l’enveloppe, 1,5ME€ de tra vauxc, dont 500 000 dès que possible.

Il en coûtera 1,50 M€ de travaux - hors taxe - pour réaliser le grand chantier de rénovation de l’église du Camp, aujourd’hui fermée pour cause de chutes de pierres. André Trigano et Michel Teychenné son premier opposant, s’étaient querellés dans nos colonnes au sujet du montant global des travaux. Ils sont finalement tombés d’accord jeudi soir à l’occasion du conseil municipal. Même si Michel Teychenné auquel le maire a dit «de toute façon vous voulez toujours avoir le dernier mot» pense qu’il faudra aller jusqu’à 2 M€ pour faire le tour de la question.

Cette église avait fait l’objet de restaurations partielles (toiture, contreforts, vitraux, électricité, etc.) mais pas de travaux de grande envergure depuis bientôt 130 ans. Il était temps qu’on s’y mette, un peu dans l’urgence comme l’a fait remarquer Louis Claeys. L’historien appaméen demande de son côté à ce qu’une politique globale du patrimoine soit mise en place dans la ville. Dans un premier temps, des travaux de réparation avaient été envisagés sur la façade occidentale. Mais l’étendue des dégradations a fait surseoir à ce chantier, pour envisager sur la foi du rapport de Jean-Louis Rebière, architecte en chef des monuments historiques, des travaux de plus grande envergure.

Cette fois on ne fera pas du replâtrage, même en «urgence» puisque ce sont cinq phases de travaux qui vont se succéder sur plusieurs exercices. Travaux sur les façades, sur la charpente, et aussi sur la toiture. Eau et air, plus une végétation spontanée, voilà trois éléments qui ont abîmé le bâtiment au point aujourd’hui de le mettre en péril. La première tranche, prioritaire, engagée au plus tôt (2 014) est estimée à 501 000 €. Elle se consacrera sur la façade occidentale (partie classée de l’édifice). Des subventions ont été demandées a indiqué André Trigano auprès de tous ceux qui ont vocation à abonder ce type de chantier (État, conseil général, conseil régional), et même une souscription est lancée ! Bref, chacun est invité à souscrire à la sauvegarde de Notre Dame du Camp.


J.-Ph. C.

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30 septembre 2013 1 30 /09 /septembre /2013 12:25

 

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29 septembre 2013 7 29 /09 /septembre /2013 18:17

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MESURE ET PONDERATION AU CONSEIL MUNICIPAL DE PAMIERS

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Voir la vidéo : ici.

Premier conseil municipal de rentrée jeudi soir dans la cité des trois clochers

Une réunion un peu particulière marquée par le deuil de Madame Trigano mais qui n’a pas empêché le maire de redire son attachement à l’Ariège et sa volonté de continuer à travailler jusqu’à la fin de son mandat dans la quiétude: «mon objectif est de servir Pamiers dans les meilleures conditions»

Pour sa part l’opposition municipale, relayée par sa figure de proue Michel Teychenné, a indiqué qu’elle ferait son travail «avec tact et fair-play», s’engageant à voter la décision modificative budgétaire mis à part, bien entendu, les 10 000 € correspondant à la destruction de la fontaine de la place de la République.
 


Passe d’armes autour du PAVE et de la Providence


Cependant tout le monde est resté dans son rôle. L’opposition avant de l’approuver a demandé des précisions concernant l’implication financière de la ville dans le PAVE (plan de mise en accessibilité de la voirie et des espaces publics) notamment au niveau de la voirie et des travaux d’accessibilité.


Selon Lucien Quèbre en charge du dossier, l’investissement monte à 3 M€ et au regard d’une telle somme «il faudra certainement réaliser une approche plus ciblée des priorités et de l’indispensable»

La mise à disposition de locaux dans l’immeuble de la Providence au profit de l’association «Les Ateliers d’Appamée» a permis à Michel Teychenné de redire qu’il «fallait trouver une vraie destination à ce bâtiment… on y installe à titre gracieux des ateliers dans un coin qui flanche, on s’abstiendra de voter»

Unanimité autour de Notre Dame du Camp

Unanimité par contre au moment du vote de la première tranche des travaux de notre Dame du Camp (500 000 €).


Louis Claeys a exprimé sa satisfaction de voir enfin ce dossier abordé: «satisfaction et en même temps déception car il aura fallu attendre la pression des évènements avec des problèmes de sécurité pour que les travaux soient abordés.

La pression sécuritaire ne fait pas une politique patrimoniale. Nous demandons depuis 40 ans que cette église soit restaurée. Nous espérons ne pas attendre aussi longtemps pour les autres bâtiments»

Pour André Trigano la sécurité est une priorité et le patrimoine devra faire partie des grands chantiers du prochain mandat, «quelle que soit l’équipe en place qui s’en chargera» a-t-il ajouté.

«Après les écoles, les équipements sportifs il faudra s’occuper du centre-ville, du patrimoine et de la qualité de vie» avant de conclure: «j’entends m’occuper de la gestion de Pamiers jusqu’à la fin de mon mandat»

Les choses sont dites, les observateurs du microcosme politique local ne manqueront certainement pas de les commenter.

Echanges musclés autour de questions d’urbanisme

Malgré la retenue qui devait s’imposer les échanges se sont animés au moment d’aborder la vente, cession de parcelles ou de biens immobiliers: une maison située chemin du Barriol au prix de vente jugé trop faible, un chemin issu du domaine public pas assez large…


Questions de l’opposition


Au moment des questions, Jacques Arthuys (Ouvrons les yeux EELV) a indiqué qu’il n’avait reçu les documents du conseil municipal que le 20 septembre et compte tenu du volume, de l’importance et de la teneur des dossiers, il n’avait pas eu le temps de les compulser et s’était donc abstenu de voter le dossier du PAVE, du PLU de Villeneuve du Paréage ou les travaux de notre Dame du Camp.


«Le support DVD c’est très bien pour économiser le papier mais ce sont plusieurs centaines de pages a étudier. Sauf de considérer que les élus(es) de l’opposition ont plus de temps disponible puisqu’ils (elles) ne participent pas aux bureaux, je me demande qui est en mesure de consulter près de mille pages de dossiers en cinq jours… Je demande que ces dossiers sur lesquels nous devons nous exprimer, nous soient communiqués dans des délais permettant leur étude»

Michel Teychenné a évoqué les nouveaux parcours de la navette urbaine, mettant en avant un problème de méthode «nous les avons appris par voie de presse» et d’argent «c’est une augmentation de 1000 € par mois» pour un projet qu’il qualifie de «raté»

«Un bricolage repris par la mairie alors que ce dossier devrait être porté naturellement par la communauté des communes puisqu’il s’agit de transport collectif»; enfin «ce dossier a été traité sous la main alors que l’on avait des choses à dire»

André Trigano a avancé des chiffres: «en 2012 le marché correspondait à 4916 €/mois il est en 2013 de 4947 €/mois. C’est un marché au kilomètre avec des circuits modulables en fonction des demandes de la population… pour le moment le budget est sensiblement le même nous faisons pour le mieux»

L’aire des gens du voyage s’invite au conseil municipal

Dans ses questions, l’opposition municipale est revenu sur le dossier rebondissant sur l’actualité et l’installation de caravanes sur la Zone de Gabrielat:

«Jean-Paul Dedieu nous a affirmé lors de conseils précédents qu’une aire de 80 places était suffisante. Je constate que la Mission évangélique rassemble actuellement 180 caravanes et ce n’est pas la première fois à Pamiers. Comment comptez-vous faire rentrer 180 caravanes dans un futur espace prévu pour 80 ?»

Jean-Paul Dedieu a annoncé que le plan départemental venait d’être adopté par le préfet et le président du Conseil général. «Il y aura deux aires de grand passage d’une capacité cumulée de 200 à 300 places. L’une sera installée à Varilhes, l’autre sur la commune de Pamiers»

 

 


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28 septembre 2013 6 28 /09 /septembre /2013 09:07

Municipales à Pamiers : Jean-Christophe Bonrepaux recommande la démission pour convenance personnelle !

Avec une majorité absolue de "deux petites voix" à l'Assemblée Nationale pour le PS, Jean-Christophe Bonrepaux invente la "démission pour convenance personnelle" : si Alain Fauré, après 18 mois de mandat de député, souhaitait démissionner pour être maire de Pamiers, il faudrait donc, s'il était élu, revoter en juin 2014 dans la deuxième circonscription de l'Ariège pour élire un nouveau député... Et prendre le risque de perdre cette circonscription, car malheureusement, le PS a perdu toutes les législatives partielles depuis 2012.

Les électeurs qui ont  confié  à leur député le mandat de les représenter à l'Assemblée pendant cinq ans vont sûrement apprécier cette" reconversion" et le "sérieux de l'engagement des candidats socialistes" - les militants socialistes et les élus qui ont fait campagne pour garder au PS cette circonscription aussi !


Quant à la liberté des députés de choisir leur mandat, François Hollande, Jean-Marc Ayrault et Harlem Désir sont très clairs, ils ont demandé aux députés de ne pas mettre en danger la majorité parlementaire, et donc de ne pas démissionner avant 2017 !


Cela me rappelle "furieusement" la lettre d'Augustin Bonrepaux, candidat à la présidence du Conseil général, qui s'engageait en 2001 devant les militants et par courrier auprès du Premier secrétaire de l'époque, pour l'élection interne qui l'avait opposé Guy Destrem et Bernard Soula, à ne pas se représenter aux élections législative si les militants l'élisaient à la présidence du Conseil Général... ce qui eu lieu. Et bien sûr quelques mois après, par un communiqué à la presse, " à la demande de ses amis et à contre-coeur mais pour l'intérêt du PS", Augustin Bonrapaux se représentait en 2002 aux élections législatives.


J'étais le premier secrétaire du PS ariégeois qui, à l'époque, a reçu la lettre d'engagement ferme et définitif d'Augustin Bonrepaux à ne pas cumuler les mandats...

L'histoire socialiste ariégeoise serait-elle un éternel recommencement?


Michel Teychenné


 

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Le PS valide les candidatures

municipales

Le bureau fédéral du PS de l’Ariège vient de valider l’ensemble des candidatures à la candidature déposées pour mener les listes socialistes aux prochaines élections municipales de mars 2014. (Notre édition du 24 septembre) à Ax, c’est l’adjoint Dominique Fourcade qui mènera la liste socialiste. à Foix, pas de surprise non plus, Norbert Meler, seul candidat à la tête de liste, est confirmé. à Saint-Girons, il y aura bien trois candidats François Murillo, Thierry Tourné et Christian Rouch pour des primaires amicales. «François Murillo» reste le candidat naturel» selon Thierry Tourné. Des dérogations sont accordées à Lavelanet et Tarascon-sur-Ariège. Dans le premier cas, le PS attend de connaître le sens du jugement concernant Marc Sanchez pour se positionner. Dans le second cas, les négociations entre le PS et le PRG se poursuivent. C’est Pamiers qui concentre l’attention avec la primaire annoncée entre Michel Teychenné, l’opposant historique à André Trigano et le député Alain Fauré. «La candidature d’Alain Fauré ne pose pas de problème par rapport au cumul. S’il est désigné et s’il est élu, alors il devra faire un choix entre ses mandats» explique Jean-Christophe Bonrepaux, premier secrétaire fédéral PS de l’Ariège en rappelant que les fédérations ont été laissées libres de leur choix.

Alain Fauré n’a pas souhaité faire de commentaires. Il donnera sa position aux militants en priorité. Selon nos informations, en cas de désignation puis de victoire aux municipales, il pourrait choisir la mairie. Tous les candidats vont maintenant plancher devant les militants des sections appelés à voter le 10 octobre. «Les candidats choisis par les militants restent les meilleurs» indique Jean-Christophe Bonrepaux.


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27 septembre 2013 5 27 /09 /septembre /2013 10:53

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Candidature de derniere minute d'Alain Fauré

 

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27 septembre 2013 5 27 /09 /septembre /2013 09:45
Pamiers. Une séance animée dominée par la retenue

 

Publié le 27/09/2013 à 08:15

 

conseil municipal hier soir

 

André Trigano: un mystérieux «après on verra!» Photo DDM JPHC.

André Trigano: un mystérieux «après on verra!» Photo DDM JPHC.  

 

Des débats et de la correction. Voilà le ton de cette séance du conseil municipal qui s’est déroulée hier soir, et a donné lieu au vote des crédits pour sauver Notre Dame du Camp.

On a beau ne pas toujours être d’accord, il faut bien vivre ensemble. Et vivre ensemble impose des convenances. C’est finalement la ligne de conduite qu’ont partagée les élus de Pamiers hier soir, au conseil municipal, le premier après le décès de Mme Trigano. Ce poids du deuil, sur les épaules du maire, il a donc été respecté. Michel Teychenné, en général offensif a tenu a le dire dès le début de la séance et a annoncé que son groupe ferait les choses «avec fair-play» et voterait même la décision modificative budgétaire, compte tenu des dossiers soutenus par l’opposition qu’elle avait pris en compte (notamment l’église du Camp), exception faite du coût de la destruction de la Fontaine Tissinier, pour les raisons que l’on devine. André Trigano en a pris acte, soulignant d’ailleurs la légitimité du rôle de l’opposition, mais tenant à préciser qu’il n’avait besoin obligatoirement de ses conseils pour faire ce qui doit être fait...Auparavant, André Trigano, faisait observer que malgré les circonstances douloureuses qu’il venait de vivre, il tenait «à faire ce mandat, avec tout le temps dont je dispose» ajoutant un mystérieux «après on verra !»

Certes la retenue de chacun dans ses propos n’a pas empêché les débats, parfois accrocheurs sur le plan de mise en accessibilité de la voirie aux handicapés, sur des ventes ou des cessions de parcelles ou de bien immobiliers. En particulier une contestation sévère de la Gauche qui votera contre la vente d’une maison à un prix jugé trop faible, chemin du Barriol, ou la cession pour l’euro symbolique (elle avait été acquise aux ASF pour le même prix en son temps) d’une autre maison sur la commune.

Unanimité autour de l'Église du Camp

On s’est aussi échauffé sur des déclassements de terrains et de voirie, pour finalement se mettre d’accord au final. Le destin de l’immeuble de la Providence est revenu sur le tapis à la faveur de la location d’une partie des lieux aux «Ateliers d’Apamée», Michel Teychenné déplorant toujours le manque de projet d’ensemble. Enfin l’église du Camp venant au débat c’est dans l’unanimité que l’on a voté le montant des travaux, et surtout de la première tranche (501.000 €). À la Satisfaction de Louis Claeys qui regrette toutefois que l’on ait dû attendre 40 ans pour en arriver là, c’est-à-dire «sous la pression» des pierres qui tombent pour faire les travaux ! André Trigano, avec des précautions de vocabulaire - «il est bien dans nos intentions et quelle que soit l’équipe qui s’en chargera» a admis que le prochain mandat des élus de Pamiers devra être dominé par les questions patrimoniales, et le retour des habitants en centre-ville. Était-ce l’esquisse d’un programme électoral ? En tout cas, vu que tout le monde est d’accord sur ces questions, on a en tout cas une petite idée sur ce que chacun mettra dans sa profession de foi !


grand passage

Il y aura bien une aire de grand passage pour les gens du voyage à Pamiers. J.-P. Dedieu l’a confirmé hier en séance, à la vérité il y en aura deux, une à Pamiers, l’autre à Varilhes pour un accueil global de 200 à 300 caravanes. Selon l’élu de Pamiers le plan départemental est enfin sorti des cartons et a été visé par le préfet. Actuellement 70 caravanes sont installées à Gabrielat!

J.-Ph.C

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26 septembre 2013 4 26 /09 /septembre /2013 10:49

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Pamiers. La possibilité d'une liste… autonome

 

 

 

Publié le 26/09/2013 à 03:50, Mis à jour le 26/09/2013 à 08:51

 

 

municipales-Front de Gauche

 

 

 

Dominique Mourlane, pourrait mener une liste autonome du Front de gauche aux prochaines municipales/.Photo DDM X.O

Dominique Mourlane, pourrait mener une liste autonome du Front de gauche aux prochaines municipales/.Photo DDM X.O  

 

 

 

Et si le Front de gauche s’invitait à la table des municipales ? L’élaboration d’une liste autonome est en cours. Dominique Mourlane pourrait en être la figure de proue et en appelle à la population pour élaborer une feuille de route programmatique.

La dernière fois que Dominique Mourlane avait fait parler de lui et du Front de Gauche, c’était à l’issue du second tour des législatives, en 2012. Sur la deuxième circonscription le candidat PS Alain Fauré avait scoré comme Tony Parker au championnat d’Europe de basket et avait raflé de fait la mise, avec, il est vrai, au second tour, une participation sous la barre des 60 % des électeurs inscrits. Le Front de gauche avait terminé au pied du podium, 4e avec un honorable voire prometteur 11 % des suffrages, juste derrière le Front national. Depuis, de l’eau a coulé sous les passerelles du canal. À la veille des joutes électorales de mars 2014, le Front de gauche entend peser dans la balance des municipales avec, pourquoi pas, la présentation d’une liste autonome, ouverte sur la société civile et pour l’heure en gestation.

Démocratie participative

Dominique Mourlane pourrait donc endosser le rôle de tête de liste, mais ce n’est pour l’instant pas ce qui l’obnubile le matin lorsqu’il se rase devant sa glace. Son ambition, comme celle de ses camarades, est ailleurs et réside en la volonté affichée d’associer la population appaméenne à une vaste consultation sur le devenir de Pamiers. Ouvrir donc la boîte à idées dans un premier temps et en faire dans un second les bases d’une résolution programmatique «ambitieuse et visionnaire» pour Pamiers. Bref, associer les Appaméens à leur destin local dans un esprit délibératif retrouvé : la fameuse démocratie participative voulue un temps par feu Ségolène Royal. «Le programme n’est pas bouclé. On a des pistes de travail, on a consulté les associations, les Appaméens. Des choses remontent. On veut voir si notre démarche est en phase avec la population.» Mais Dominique Mourlane prévient avec franchise : «Nous, on n’a pas d’orgueil. Si on n’est pas en phase avec la population, on rangera les outils et on fermera l’établi». Une prise de température d’un l’électorat qui, si on en croit le leader du Front de gauche, a des états d’âme : «La commune n’a plus de direction, il n’y a plus de vision pour Pamiers. La gestion est balkanisée entre adjoints qui font ce qu’ils veulent, chacun de son côté avec son petit budget.»

L'enjeu du centre-ville

Alors précisément quelle est l’ambition des frontistes de gauche ? «L’enjeu c’est le réaménagement du centre-ville. Lutter contre l’insécurité et la paupérisation du centre en revoyant la copie de l’urbanisme, en remettant de la vie intra muros, par le biais associatif, commercial et culturel. Pas des caméras de surveillance ou des forces de l’ordre.» à la question de savoir si le Front de gauche ne court pas le risque in fine de n’être qu’une variable d’ajustement au sein d’une gauche plurielle au leadership socialiste et par là même de poser un problème de cohérence et de lisibilité pour les électeurs, Dominique Mourlane est clair : «C’est vrai, cette question anime le débat en interne. Si le problème des alliances se pose, il faudra les élargir vers tous les opposants à la politique d’austérité qui est actuellement menée. Il n’y a qu’à voir la hausse d’impôts qui touche la classe moyenne.»

Et une alliance avec M. Trigano est-elle envisageable ? «Avec Trigano oui ! Mais avec Arnaud Trigano* ! (rires). Non, plus sérieusement, il faut s’assumer comme une alternative possible et crédible. Prendre le risque de gagner !»

* N.D.L.R : Arnaud Champremier Trigano, fils d’André Trigano, a été le directeur de la communication de Jean-Luc Mélenchon durant la campagne pour l’élection présidentielle de 2012.

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