Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

C O N T A C T


CONTACT 
logofacebook

R E C H E R C H E

L I E N S



logodepeche140

logogaz140




 

22 novembre 2011 2 22 /11 /novembre /2011 15:54

pamiers2014titre

anews2010

pamiers20141-copie-1.jpg

vedio2014.jpg

Il vient de l’annoncer. Le député de l’Ariège Henri Nayrou, après une vie publique et politique bien remplie, ne se représentera pas aux prochaines législatives (en juin 2012).

De quoi laisser la place, côté socialiste à un nouveau visage, dont la désignation est en cours...

Après les bruits de couloirs, entre un mandat local et national, Michel Teychenné (leader de l’opposition appaméenne) a annoncé son choix lors d’une conférence de presse: ce sera Pamiers, et non l’assemblée nationale.

Non-cumul des mandats oblige, «je ne serai pas candidat aux législatives. J’ai été parlementaire européen, j’en connais les difficultés, c’est un bel engagement. Mais ce qui m’intéresse, ce sont les dossiers, le local, la rencontre avec les gens»

Comme un «prolongement avec ma candidature aux élections régionales» (soldée en 2010 par une éviction de la troisième place de la liste socialiste), l’ancien député européen mise donc à nouveau sur le local. Un univers, «tout aussi noble que le national»

En profitant au passage pour saluer la décision d’Henri Nayrou (à 67 ans) de laisser la place aux nouvelles générations, sans oublier de lancer une petite pique à la tendance départementale qui n’est pas vraiment acquise au renouvellement, «c’est une chose assez rare au niveau du département, à droite comme à gauche d’ailleurs !»

Avec deux ans d’avance donc (avant 2014), l’actuel leader de l’opposition appaméenne affiche ses ambitions: se lancer dans la reconquête de la Basse-Ariège.

Elections à la mairie, à la communauté des communes, à la région, aux cantons? L’élu n’en dit (pour le moment) pas d’avantage.

Même si en basse-Ariège, et ce n’est pas un secret, la succession du charismatique maire de Pamiers André Trigano (86 ans) est dans tous les esprits, à gauche comme à droite.

Michel Teychenné avance donc pas à pas, «la gauche se doit de reconquérir la Basse-Ariège», ajoutant «on aura que l’embarras du choix.
Ce sera un travail d’équipe avec les socialistes, les gens de gauche, et la population qui sera mobilisée autour d’un projet de changement mais aussi de continuité pour toutes les bonnes choses qui ont été faites»
Ces ambitions ne seront-elles pas à un moment bloquées par les relations qui, on le sait, ont souvent été tendues avec la fédération socialiste ariégeoise?

La stratégie n’est pas à l’affrontement, «il faut savoir tourner les pages. C’est pas parce qu’il y a eu quelques bisbilles [...] ça fait partie de la politique: je suis pleinement socialiste et heureux de l’être !»

renon

Michel Teychenné, le bouillant conseiller municipal socialiste de Pamiers, ancien député européen, va surprendre son petit monde par l'annonce faite hier soir, de sa décision de ne pas présenter sa candidature d'investiture du candidat socialiste aux prochaines législatives. Il a donc décidé de privilégier son investissement de plusieurs années à Pamiers où il se félicite de mener une opposition qui a su se construire sur la durée, et conserver son rôle de « poil à gratter » dans le dos d'André Trigano. Évoquant les législatives, Michel Teychenné à longuement rendu hommage à Henri Nayrou, « qui a fait le choix d'une décision rare » en ne se représentant pas. Et s'il dressait le portrait du candidat socialiste idéal où l'on ne pouvait pas s'empêcher de voir en filigrane sa peinture en pied, il a finalement décidé de renoncer à poser sa candidature. Au nom du principe du « mandat unique » : « On ne sera plus député « à la grand-papa » en cumulant mandats locaux et nationaux. Cela fait des années que je milite contre le cumul. Il faut donc être cohérent dans ses engagements pour les concitoyens. Mon choix est donc net et clair, c'est Pamiers et la Basse-Ariège, c'est mon engagement comme élu local, et leader de la gauche à la Mairie de Pamiers. C'est aussi mon choix de cœur et de raison. Dans deux ans, il y aura des élections municipales, à la communauté de communes, à la région et aux cantons. La gauche se doit de reconquérir la Basse-Ariège. C'est mon objectif, ce sera un travail d'équipe, j'en prendrai ma part ! »

« QUE LES PRIMAIRES OFFRENT UN VRAI CHOIX AUX MILITANTS »

L'éventail du choix est large, Michel Teychenné a plusieurs fers au feu « pour un nouveau cycle politique qui commence ». Mais ce ne sera donc pas dans la braise des législatives qu'il le plongera, tout en avouant sa préférence pour que les primaires socialistes offrent aux militants « un vrai choix, entre plusieurs candidats ou candidates. » Et d'ajouter : « Je ferais campagne pour François Hollande à la présidentielle et pour celui ou celle qui sera désigné aux législatives ».
 

Partager cet article
Repost0
21 novembre 2011 1 21 /11 /novembre /2011 21:00
Législatives : Mon choix est clair et net!

D’abord je voudrais saluer la décision d’Henri Nayrou de se retirer de la vie politique. il a été un très bon député de terrain et sa décision l’honore, elle n’est pas habituelle en Ariège, à droite comme à gauche.... pour être saluée.

C’est comme le dit Henri Nayrou, un nouveau cycle qui s’ouvre avec cette présidentielle et le renouvellement des générations est plus que nécessaire pour le Parti Socialiste en Ariège.
Pour être un bon candidat socialiste aux législatives il faudra remplir 3 conditions :

La première : Avoir une bonne notoriété dans la population et être capable de rassembler nos partenaires du Front de gauche et EE-les Verts au deuxième tour. Il vaut mieux avoir une solide expérience politique. Un simple député à Paris, c’est I /577 éme de l’Assemblée nationale, il y a 577 deputés. Si l’on veut peser pour sa circonscription et dans le travail parlementaire, il vaut mieux avoir déjà un bon réseau de relations pour ne pas faire de la figuration. J’ai été parlementaire européen; 6 mois après mon arrivée  au Parlement, j’ai été rapporteur d’un projet de loi important dans le Transport que j’ai fait voter.

La seconde condition pour être un bon candidat : Il faut aussi en avoir envie ! C’est une fonction très prenante qu’il faut vivre à 120 %. Il faut une constitution sportive pour passer la moitié de la semaine à Paris en réunion ou en séance de jour et de nuit, puis revenir parcourir pendant 3 joursles 140 communes de la 2éme circonscription, cela à longueur d’année. Si on veut vraiment bien faire son “boulot” à Paris et en Ariège.

Enfin, la troisième condition , et celle là est nouvelle, c’est le mandat unique. Pour être candidat aux législatives il faudra que le candidat PS s’engage à ne pas cumuler ou abandonne ses mandats exécutifs (maire, adjoint, président et vice-président de collectivité...) C’est nouveau et c’est une vrai avancée démocratique. Le cumul des mandats est indéfendable, une honte pour la France qui est la seule en Europe à ne pas avoir réglé ce problème par la loi. Si François Hollande gagne en 2012, nous ferons passer une loi qui l’interdira. Mais dès à présent nos candidats devront s’engager “définitivement à s’appliquer le non-cumul” devant les électeurs et pour la durée de leur mandat.
Jean-Pierre Bel en se l’appliquant à lui-même il y a trois ans a montré le chemin de cette réforme.

On ne sera plus député “à la grand-papa” en cumulant les mandats locaux et nationaux. Je pourrais remplir les deux premières conditions, mais cela fait des années que je milite contre le cumul : aujourd’hui, il faut savoir faire un choix clair entre le local et le national, il faut être cohérent dans ses engagements pour les concitoyens.

Mon choix est net et clair, mon choix c’est Pamiers et le Pays de Pamiers, c’est mon engagement comme élu local, comme “leader” de la gauche à la Mairie de Pamiers . C’est aussi mon choix de coeur et de raison pour Pamiers et le Pays de Pamiers, celui que j’avais fait en étant candidat aux élections régionales. Malheureusement les choix du PS 09 nous ont fait perdre le siège de conseiller régional de Pamiers.

En 2014, dans deux ans et quelque... il y aura des élections municipales, à la Communauté des Communes, à la région et aux cantons. La gauche se doit de reconquérir la Basse-Ariège... C’est mon objectif, ce sera un travail d’équipe, j’en prendrai ma part. C’est un nouveau cycle politique qui commence, c’est à ma génération de le préparer et de le concrétiser.

Je ferai campagne pour François Hollande à la présidentielle et pour celui ou celle qui sera désigné aux législatives.
 
Michel Teychenné
 
Partager cet article
Repost0
20 novembre 2011 7 20 /11 /novembre /2011 12:29
Félicitations à Monsieur le maire... et à Hubert Lopez, candidat de l'UMP aux dernières cantonales sur le canton de Pamiers-Est. Juste au-dessus du maire sur la photo, Hubert Lopez dans ses fonctions de photographe officiel de la mairie de Pamiers ! 
logodepeche140
L'ordre du mérite pour André Trigano 
L'ordre du mérite pour André Trigano
L'ordre du mérite pour André Trigano
L'ordre du mérite pour André Trigano

Après être devenu officier de la légion d'honneur en 2008, trois ans plus tard, le maire de Pamiers André Trigano s'est vu attribuer par le Président de la République Nicolas Sarkozy, le grade le plus élevé de commandeur, dans l'ordre national du mérite. La cérémonie a eu lieu mercredi après-midi au palais de l'Élysée. Cette distinction récompense, suivant les mots du chef de l'État : un « engagement fidèle au service de la France » et vient couronner le « dévoue ment et un brillant parcours ».

Partager cet article
Repost0
15 novembre 2011 2 15 /11 /novembre /2011 10:40
Taxe sur la Publicité Extérieure
LA MAIRIE TRIPLE SES PERTES : 600 000 EUROS DE PERDUS!


Les élus de gauche avaient dénoncé avec vigueur le cadeau fait aux grands groupes de distribution par la mairie de Pamiers. En supprimant la Taxe Locale sur la Publicité pour le budget 2011, c’est 205 000 euros qui ont été perdus pour le budget municipal, alors que 80 % de cette taxe est payée par les grands groupes de distribution (au-dessus de 20 mètres carrés de panneaux publicitaires) et que le conseil municipal, comme nous le demandons, pouvait exonérer les petits et moyens commerces qui n’aurait rien payé... La majorité a choisi de ne rien faire et de perdre 205 000 euros en 2011. Et pour faire bon poids, le maire a aussi annoncé en conférence de presse la suppréssion de la taxe en 2012 : encore 205 000 euros de moins.

Mais l’histoire ne s’arrête pas là : la Mairie devra payer en plus 180 000 euros au cabinet d’étude qui a réalisé l’enquête sur la Taxe sur la publicité extérieure (TLPE), en plus de ne rien encaisser. Cette somme énorme de 180 000 euros pour une simple étude est due en vertu d'un contrat tout à fait légal signé par le premier adjoint, qui prévoit une commission de 40 % pour le bureau d’étude sur les futures recettes de la Taxe Locale sur la Publicité. Soit au total 590 000 euros de perdus par une décision précipitée et irréfléchie. Cela fait très cher... pour un cadeau électoral.

Curieux contrat quand même que ce “contrat à la commission”, comme à l’époque de la royauté où les fermiers généraux faisaient rentrer l’impôt contre une confortable commission pour leurs poches... Après les emprunts toxiques qui courent jusqu’en 2032, dont le maire nous a expliqué “qu’on n’avait pas bien lu ce qui était écrit en tout petit sur le contrat de Dexia”, c’est maintenant les contrats d’études à la commission et... 600 000 euros qui partent en fumée . Rassurez vous bonnes gens, il paraît que la Mairie est bien gérée!

Michel Teychenné
Président du Groupe de gauche
PUBLIÉ LE 17/11/2011 03:52 | LA DÉPÊCHE DU MIDI
Un «cadeau électoral» qui coûte cher à la ville

politique

Suite à l'annonce d'André Trigano quant à la taxe sur la publicité extérieure (TPE), Michel Teychenné, président du groupe d'opposition, communique: «En supprimant la taxe locale sur la publicité pour le budget 2011, c'est 205 000€ qui ont été perdus pour le budget municipal, alors que 80 % de cette taxe sont payés par les grands groupes de distribution (au-dessus de 20 m2 de panneaux publicitaires) et que le conseil municipal, comme nous le demandons, pouvait exonérer les petits et moyens commerces qui n'auraient rien payé... La majorité a choisi de ne rien faire et de perdre 205 000 € en 2011. Et pour faire bon poids, le maire a aussi annoncé en conférence de presse la suppression de la taxe en 2012 : encore 205 000 euros de moins.

Mais l'histoire ne s'arrête pas là : la mairie devra payer en plus 180 000€ au cabinet d'étude qui a réalisé l'enquête sur la taxe sur la publicité extérieure (TLPE), en plus de ne rien encaisser. Cette somme énorme de 180 000 euros pour une simple étude est due en vertu d'un contrat tout à fait légal signé par le premier adjoint, qui prévoit une commission de 40 % pour le bureau d'étude sur les futures recettes de la taxe locale sur la publicité. Soit au total 590 000 euros de perdus par une décision précipitée et irréfléchie. Cela fait très cher... pour un cadeau électoral.»

 
Partager cet article
Repost0
13 novembre 2011 7 13 /11 /novembre /2011 17:53

logogaz140

pjchap3a.jpg
pchap3b-copie-1.jpg

petitjournallogo

deuxhaut.jpg
pchap2a.jpg


Partager cet article
Repost0
13 novembre 2011 7 13 /11 /novembre /2011 17:14

petitjournallogo

pjchap1a
pjchap1b

Partager cet article
Repost0
13 novembre 2011 7 13 /11 /novembre /2011 12:05

Partager cet article
Repost0
12 novembre 2011 6 12 /11 /novembre /2011 13:53

 

Mariage gay : Je salue l’initiative du maire de Cabestany et condamne avec force les propos réactionnaires et inadmissibles de madame Nicole Greff ,Secrétaire d’Etat à la famille, qui une fois de plus justifie le véto de l’UMP et du gouvernement par “le respect et l’intérêt des personnes LGBT”...
 
Tous mes voeux de bonheur aux mariés, et vivement l’égalité des droits pour les LGBT.

 
Michel Teychenné
Membre du Conseil national du PS
Partager cet article
Repost0
12 novembre 2011 6 12 /11 /novembre /2011 11:43
A l’occasion de l’inauguration de l’Espaci Occitan de la calendreta de Pamias et du 900e anniversaire du nom de Pamiers, Michel Teychenné, président du Groupe de gauche au conseil municipal, a écrit à André Trigano, maire de Pamiers, pour demander que les panneaux indicateurs des limites de la ville soient dorénavant bilingues français-occitan.

Le 900e anniversaire du nom de Pamiers est en effet l’occasion de rappeler les racines occitanes de notre ville et d’en être fiers. Pamias, prononcé “Pamios”, est le nom occitan de Pamiers durant toute l’histoire très riche de notre ville. Nom toujours vivant dans notre mémoire collective et qui ne doit pas disparaître.
 
Partager cet article
Repost0
12 novembre 2011 6 12 /11 /novembre /2011 11:34
Pamiers. La culture occitane enfin dans ses murs

langue

Une inauguration (forcément) bilingue./Photo DDM, C.V.
Une inauguration (forcément) bilingue./Photo DDM, C.V.
Une inauguration (forcément) bilingue./Photo DDM, C.V.

C'est le premier espace d'une telle envergure dédié exclusivement à la culture occitane, en Ariège. Son nom est on ne peut plus explicite : l'« espaci occitan ». Des années que les différentes associations locales travaillaient à ce projet. Aujourd'hui, les locaux sont enfin ouverts. Cachés tout au fond de la zone de Pic, ils regroupent la calandreta, à savoir l'école occitane, ainsi que divers espaces pour l'association Lauseta et l'institut d'études occitanes. Un coin bibliothèque et plusieurs salles adaptées à l'enseignement de la langue, aux conférences, aux expositions, sont prévus.

L'objectif étant d'offrir un lieu de vie à la culture occitane dans son ensemble, et tout particulièrement une ouverture aux jeunes élèves de la calandreta. « Ce qui est important pour les élèves, c'est qu'ils se rendent comptent que l'occitan est une langue vraiment parlée, en dehors de l'école. C'est ce que va permettre l'espaci occitan : ils verront sans cesse du monde, autour de l'école, et ça fera sens pour eux, explique le chef de l'établissement, Sandra Bernard. Nous nous attachons vraiment à tisser une passerelle avec l'extérieur. »

Lors de l'inauguration des nouveaux locaux, Guilhem Latrubesse, conseiller régional délégué aux affaires occitanes, a rappelé que « 2 000 enfants étaient scolarisés dans des calandretas, sur tout le territoire occitan ». À Pamiers, le nombre d'inscrits s'élève à 44, soit une partie non négligeable de la population concernée par l'enseignement en occitan. Créer « un lieu fort, identifié », comme l'est désormais l'espaci occitan était donc une nécessité.

DES PANNEAUX BILINGUES DANS LA VILLE

Cette inauguration coïncide avec l'approche du « festenal occitan », dans quelques jours, et également avec l'exposition présentée à la médiathèque (lire ci-contre). Un mois décidément très occitan, à Pamiers. Par ailleurs, la municipalité réfléchit à la possibilité d'installer des panneaux bilingues indicateurs d'entrée et de sortie de la ville, suite à la proposition de Michel Teychenné. Hubert Lopez, en charge de l'urbanisme, a assuré que les élus « y réfléchissaient ». Une initiative qui ferait également écho aux 900 ans du nom de Pamiers… ou plutôt de Pamias.


Une expo et un festival

Durant tout le mois, la médiathèque propose une exposition intitulée «Pamiers, ville occitane». Elle se compose de quinze panneaux, réalisés entre autres par Daniel Pedoussat, du cercle occitan Prosper Estiu. Bilingue, elle retrace le triomphe de la langue occitane à Pamiers. On apprend entre autres l'histoire de certains noms de lieux-dits ou de rues.

Le festenal occitan aura lieu, quant à lui, les 18, 19 et 20 novembre. Des pièces de théâtre, films, lectures, ainsi qu'un bal sont programmés durant ces trois jours.

Partager cet article
Repost0